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Article dans l'Ouest France et dédicace à l'Espace Culturel E.LECLERC

Sébastien, depuis combien de temps exercez-vous dans le domaine de la coiffure ?

Cela fait 40 ans que je travaille dans ce milieu officiellement. Officieusement, j’ai toujours été un passionné de cheveux depuis mon enfance et c’est toujours une passion pour moi de voir ce que l’on peut faire avec cette matière.

 

C’est une vocation qui est arrivée très tôt ?

Totalement. Quand j’avais 13 ans, le mercredi après-midi, j’allais observer dans le salon de ma tante. C’est elle qui m’a offert ma première tête d’apprentissage. Les études n’étaient alors pas ma tasse de thé et ma mère me menaçait de me punir en me l’enlevant si je ne faisais pas mes devoirs (rires). Ensuite, comme j'avais déjà en tête de faire de ma passion un métier, à 16 ans j’ai fait un apprentissage à Paris mais à l’époque les apprentis n’étaient souvent pas souhaités par la clientèle alors je me suis inscrit dans une école de coiffure où je me suis tout de suite épanoui. Même si j’étais en désaccord avec les pratiques qui fragilisent les cheveux et le cuir chevelu comme les colorations et permanentes, j’ai obtenu mes diplômes de CAP et de brevet professionnel.

 

C’est à ce moment que vous avez pris connaissance du bien être capillaire ?

Tout à fait. C’est en partant de ce principe que j’ai passé la formation d’énergéticien en 2007 auprès de Rémi Portrait, qui a inventé ce concept de coupe énergisante. Elle a plusieurs propriétés : elle renforce les cheveux en leur apportant vitalité, brillance et souplesse. Elle fonctionne par vibrations grâce au rasoir dit « coupe-chou », qui est l’instrument utilisé pour ma méthode et peut réguler chute de cheveux et autres problèmes du cuir chevelu tout en apportant du bien-être et entretenir son capital. Je reste fidèle à ma formation tout en ayant apporté ma sensibilité.

 

Il y a de la demande ?

Beaucoup de personnes viennent me voir, femmes et hommes. J’exerce, en plus de mon activité Concarnoise tous les deux mois pendant trois semaines qui a commencé le 10 mai dernier, à Bruxelles, à deux pas du Manneken-Pis, de la Grand-Place et de la gare Centrale depuis 2011. Depuis mon arrivée ici, j’ai reçu des personnes de Concarneau, bien sûr, mais aussi de Roscoff et de Nantes qui me suivent grâce à mon site internet.

 

Vous avez d’autres activités ?

Je suis également auteur, j’ai sorti mon premier ouvrage La coupe énergétique, le cheveu sous l’Âme du rasoir en 2018 aux éditions Amyris, mais aussi formateur et conférencier. J’ai eu deux reportages sur le net réalisés par l’intervieweuse et productrice Lilou Macé, qui m’ont fait connaitre à l’international. Lors de la sortie de mon livre au Québec, j’ai eu un reportage dans l’émission « Salut, bonjour’.  

 

Pourquoi avez-vous choisi Concarneau pour exercer ?

La personne qui partage ma vie souhaitait un retour aux sources, par amour pour la ville bleue. J’exerce dans l’ancien atelier du peintre Jean-Claude Carsuzan, rue de Trégunc et la maison d’habitation a accueilli Gauguin pour y être soigné en 1893 . Pour l’anecdote, à Bruxelles, je suis non loin de la statue de Brel. Ces deux grands artistes reposent à quelques mètres aux îles Marquises, c’était un signe.

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